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D’'ARCHITECTUR E- 327
eft encore de former le fond avec une bande de
plomb , que l’on fera recouvrir de 3 pouces de
part & d'autre par l’ardoife.
Les enfaîtements ou faites des toits en ardoife
{fe couvrent d'ordinaire avec des bandes de plomb
c , fig. XVHI, que l'on retient de 2 pieds en z
pieds , avec des crochets qui faififfent fes bords y
8 font arrêtés fur le faite de charpente ; ON
revêtit de mème les noues , les œils-de-bœuf »
le devant & les deffus des lucarnes » les chapeaux
des croifées en manfarde » les amortiffements , les
chênaux , &C. {
Quand on veut cependant épargner la dépenfe
du plomb , on couvre l'enfaiîtement , en obfer-
vant ,fig. XIX , d'élever fur le faite @ , l’ardoife
d’un des côtés b , d'un pouce ou deux de plus
que celle « de l'autre côté , & d'appliquer » fur-
tout avec exatitude , le bord de l’ardoife infé-
rieure , contre la face de l'ardoife la plus élévée
au-deffus du toit : moyen qui et économique
mais qui n'empêche pas toujours les eaux de pé-
nétrer , bien qu’on ait l'attention de placer la
tuile & , qui eft la plus élévée à l’oppofite des
plus grands vents y {uivant la direftion du com-
ble : on appelle cet arrangement de faite . ur
lignolet.
Il y en a encore qui, au lieu de plomb met-
rent des faitieres de terre cuite , comme aux
couvertures de tuile, que l'on peint enfuite de
noir à l'huile.
Lorfque les combles font brifés , on fait au
droit du brifis un petit égout, en avançant
le bord des ardoifes du toit fupérieur de 3 où 4
pouces ; on cloue dire&ement l'ardoife fous cet
égout , & fouvent on y met une bavette de plombe
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