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D'ARCHITECTURE. ;
en un mot que fubftituer , aux tâtonnemens qui
avoient jufqu’alors fervis de guides, des principes
certains , fondés fur le développement des loix érer-
nelles de l'équilibre & de la pefanteur.
Aufurplus , filon n’a pas encore tiré des Sciences
tous les fecours qu’on a lieu d’en efpérer , & fi elles
n’ont porté jufqu'ici leurs regards que vers les con-
fidérations les plus fimples de la pouffée des voûtes,
c’eft qu’il ne fuffit pas d’être feulement Mathémati-
cien pour traiter des conftruttons compofées , &
qu’il faudroit à la fois être verfé dans’la pratique.
Tous les Sçavans font bien éloignés de réunir les
lumières des Wreen & des Frezier. En effet, un
fimple Géometre n’eft prefque jamais aflez exercé
dans le Deffin pour diftinguer tous les rapports
des plans , des profils & des élevations d’un Edifice :
rarement eft-il au fait de la coupe des pierres, à
moins d’en avoir fait une étude particuliere : il
ignore communement la repartition ‘des matériaux
d’un bâtiment , leurs qualités, leur emploi, leur
alliage, les effets de leurs taffemens , & le poids
qu’ils peuvent porter : il fe trouve à chaque pas
arrêté par une muititude de convenance dont la
pratique feule inftruit, & que rien ne fauroit fup-
pléer. C’et pourquoi , dans l'ignorance où il eft
des procédés ufités, dès qu’il entreprend de péné-
trer dans ces fortes de matières pour y porter le
flambeau de la théorie , :l fe tronve obligé de fe
créer des principes , de recourir à des hypothèfes,
de chercher par raifonnement des efforts cachés ou
des tendances à agir , d'imaginer des leviers fecrets
qui le conduifent à des déterminations, qui ne font
pas toujours d'accord avec les faits. En un mot, l
n’y a que la réunion de la pratique & de la théorie,
qui puiffle mettre en état de traiter à fond les
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