TABLE EXPLICATIVE.
PLANCHE LII.
Les petits meubles usuels représentés sur cette planche ont étérépétés
plusieurs fois, et même avec quelques variantes, par les fabricans de
Paris. On peut les regarder comme des meubles de commerce. Le
mét'er à broder, la boîte de toilette, le seau à laver et la lampe, ont
été exécutés dans ces mêmes formes, mais en matières plus ou moins
riches. On ne croit pas devoir expliquer en détail le mécanisme de leur
construction ; cette partie de l’art aurait exigé, sur ce sujet comme sur
tous ceux dont il a été précédemment parlé, une description trop
étendue; on s'est borné à ne dire de chaque chose que ce qui est
nécessaire pour en faire connaître l'usage et la composition, sous le
rapport de l'art du dessin.
PLANCHE LIII.
Plafond de la chambre à coucher de l'Empereur, au palais
des Tuileries. ‘
Les armoiries et le chiffre de l'Empereur avec des trophées militaires
et des guirlandes soutenues par des figures de génies ailés, composent
les ornemens d’entourage de ce plafond. Quatre Vertus, sous la forme
symbolique des quatre premières divinités de la fable, sont peintes en
grisaille avec des rehauts en or sur des fonds de lapis lazzuli; elles
occupent les milieux des faces de la partie carrée du plafond.
PLANCHE LIV.
Jardinière pour être placée au milieu d’une grande pièce.
C’est une riche corbeille supportée par des thermes qui forment