sous forme de montre. Deux exemplaires construits par lui se trouvent
au cabinet de-physique de Neuchâtel, ainsi qu'une montre dont l’échap-
pement est compensé par un thermomètre métallique qui règle la Ion-
gueur du spiral.
Il a remporté en 1817 la médaille d'or que la société d'Emulation
patriotique de Neuchâtel avait affectée à la meilleure montre. Houriet
a présenté une montre à secondes, jugée parfaite; il a présenté comme
travail théorique un mémoire sur la mesure du temps. Frédéric Hou-
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riet est le beau père de Urbain Jürgensen de Copenhagne, ce célèbre
horloger dont les fils et petits fils habitent le Locle et qui quoique da-
nois sont pour nous, des concitoyens dont nous nous honorons.
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Francois Ducommun de ia Chaux-de-fonds, (1757—1837) a in-
venté et exécuté un planétaire magnifique qui est conservé à l'école
d'horlogerie de la Chaux-de-fonds, Il a inventé et exécuté un divisoir
perfectionné.
David Guillaume Huguenin de la Brévine (1765—1849) invente
et exécute avec son associé Louis Yersin la magnifique pendule à com-
pensation, d'après les principes de Fr. Houriet, qui se trouve à l’hôtel
de ville de Neuchâtel et qui a servi de régulateur jusqu'à l’établisse-
cantonal
introduit l'art des pierrist( “en 1810
0cle (1774 1845 à le premier
ouaient un air de lUSIqi oduit
, le m0] \ guichet indiq nt
sans aiguill Il a créc nouveau
calibre pour les pièces à ancre, levée visible, ancre et fourchette d'une
seule pièce. Il a inventé divers outils à découper et d'autres pour tra-
vailler l'acier et les pierre
L @1 145 t { ‘ à a Il ‘
va à la Montagne introduit l'in-
le la Sagne (1770—1849) fabricant
d'échappements dl Locle. Il a con truit le premier, l’échappemen 1
virgule. El a construit une balance sensible au 4800 le grain, destinée
1 peser 5 spiraux. Il a fait la montre de 5 ligi es de diamètre que 1a
principauté de Neuchâtel a offert, comme chaton de bague, à la Reine
de Prusse lors de son voyage à Neuchâtel en 1842
Phincé Perret dun Locle (1777—1851). Il a inventé et construit
ine machine pour faire el tailler les limes à arrondir, ainsi qu'un outil
pour fendre et former les pignons des pendules, ce qui donna aux pen-
lules neuchâteloises de ce temps une grande supériorité sur celles con-
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struites à Beaucourt à cette époque.