Full text: Traite de télégraphie électrique

   
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ÉLECTRIQUE. 103 
membres de l’Académie des sciences de Paris qui vinrent me voir 
au Collége de France, où, grâce à l’obligeance de M. Regnault, 
j'eus l’occasion de répéter devant eux plusieurs de mes expériences 
électro-magnétiques. Parmi les personnes présentes était M. Pouillet, 
qui me demanda l'autorisation de faire copier mes dessins, ce à 
quoi je consentis volontiers. J’appris de lui, en décembre dernier, 
que ces dessins étaient encore en sa possession. 
» À mon retour en Angleterre, mon ami le capitaine Chapman (1), 
de l'artillerie royale, convaineu de l'utilité de cet instrument, était 
très désireux qu'il fût introduit dans la pratique de l'artillerie à 
Woolwich, et se donna beaucoup de peine pour y parvenir. Nous 
eûmes une entrevue à ce sujet avec feu lord Vivian, alors maitre 
général de l'Ordnance , et, le 17 juillet 1841, j’expliquai à l'Institut 
de l'artillerie royale la construction de l’instrument.et ses diverses 
applications. Vingt-deux officiers assistèrent à cette séance, dans 
le compte-rendu de laquelle (compte-rendu dont je possède une 
1 
7300 
et que mon objet était « de montrer son application aux usages 
pratiques de l'artillerie, » c’est-à-dire de déterminer le temps em- 
ployé par un projectile à franchir les différentes sections de son 
parcours , ainsi que sa vitesse initiale. Dans la même séance, je 
copie) il est dit que mon chronoscope « indiquait de seconde, » 
montrai « un chronoscope destiné à mesurer la vitesse des éclairs, 
tels que ceux produit par l’ignition de la poudre. » Cet instrument, 
le seul que M. Bréguet m'attribue, n’avait cependant rien de 
commun avec les courants électriques, comme il le suppose; c'était 
simplement une série de roues portant sur des axes trois légers 
disques en papier, d'environ 1 pouce de diamètre chacun. Les 
temps de leurs révolutions respectives étant comme 1, 10 et 100, 
le disque dont le mouvement était le plus rapide faisait 200 révo- 
(1) Depuis longtemps j’entretenais une correspondance avec le capitaine 
Chapman à ce sujet. Dans une de ses lettres, du 27 août 1840, après m'avoir 
fait part de ses vues sur la manière de conduire ses expériences, il dit : 
« Nous obtiendrons ainsi la vitesse des projectiles à chacune des sections de 
» sa trajectoire, et j'ose croire que nous arriyerons À une connaissance de 
  
» l'effet de la gravitation our le projectite, beaucoup plus saflsfalsanie que 
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