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ÉLECTRIQUE. 341
alors elle n'avance plus que d’un pas à chaque minute au lieu de
chaque seconde.
La fig. 3, app. 20, montre par devant le régulateur de l'horloge
primitive B, sur laquelle est fixé un cercle d'ivoire, avec des mor-
ceaux ou chevilles en métal, insérées de manière à effleurer la
surface, et en nombre égal au nombre d’horloges à mettre en
mouvement. Au centre du cercle est placé l'arbre de l'aiguille des
secondes de l'horloge, sur laquelle est fixé un ressort très délié ayant
son extrémité libre en contact avec le cercle en ivoire. Le fil con-
ducteur positif de la pile est en communication avec le mouvement
de l'horloge. Dès lors à chaque fois que l'aiguille des secondes
passe sur une cheville de métal du cercle en ivoire, le circuit est
fermé, et le courant est transmis à celle des horloges qui commu-
nique avec la cheville dont il s’agit. Comme l'aiguille des secondes
passe une fois par minute sur chacune des chevilles de la roue,
chacune des aiguilles, mises en communication avec l'horloge ré-
gulatrice, avancera d’une division par minute. Par celte combi-
naison le courant n'ayant à faire mouvoir à la fois qu’une seule
aiguille exerce plus de puissance.
L'app. 21, pl. 7, fig.1 et 2 représente un mécanisme destiné à faire
marcher d'accord des horloges ordinaires , réglées à chaque heure
par le passage d’un courant électrique qui les unit à une première
horloge régulatriee. Pour mettre le mécanisme en évidence, on a
enlevé une partie du cadran: a est un électro-aimant, et # son ar-
mature, à laquelle est attachée une tige terminée à son extrémité
supérieure par uue fourche conique ee : ç est une cheville ou pointe,
se prolongeant en arrière à partir de l'aiguille des minutes. Avant
la transmission du courant électrique. à l’électro-aimant a, l'arma-
ture 6 et les fourches ee sont dans la position indiquée par les lignes
pointées : mais à la dernière seconde de l'heure, l'horloge régula-
trice transmet le courant , et le fait circuler autour de l’électro-ai-
mant; alors l’armature est soudainement attirée et élevée, entrai-
vant la fourche, comme le montre la figure. Si l'horloge avait
avancé, le mouvement de la fourche sur la cheville ramènera à sa
place l’aiguille des minutes, et celle-ci indiquera le temps exact.
De même, si l'horloge avait retardé, la fourche ferait avancer l'ai-