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ÉLECTRIQUE. 347
regard du pôle austral de ce même aimant ; il y a répulsion entre
l’aimant et l’électro-aimant ; l’aimant est chassé dans la direction
indiquée par la flèche fig. 7; le bec de la plume sort de l’encre,
va frapper le papier du tambour, et y trace un point d’encre. Lors-
qu'on laisse retomber la plaque de fer RS sur les bouts de l’aimant,
on produit un courant électrique qui va aimanter l’électro-aimant
ABCD, fig. 7, en sens contraire de sa première aimantation. Il y
a alors attraction entre l’électro-aimant ABCD, fig. 7, et l’aimant de
la plume; le bec de la plume rentre dans l'encre. Si l’on soulève
et si l’on abaisse dix fois alternativement le levier de la machine
magnétique , on trace dix points d'encre sur le papier du tambour.
On vient de voir comment on produit des sons au moyen de la
sonnerie , et comment on trace des points d'encre au moyen de l’ap-
pareil à écrire. Dans la pratique, on met simultanément la sonnerie
et l'appareil à écrire dans le circuit de la machine magnétique, de
manière à produire simultanément des sons et des points d'encre.
Les dépêches se trouvent ainsi simultanément tintées et écrites.
M. Dujardin se trompe en attribuant à M. Jacobi l'invention du
télégraphe électrique qui finte et écrit les dépêches tout à la fois.
11 veut parler sans doute du télégraphe de Steinheil, qui n’est ni
si imparfait qu’il semble l’affirmer, ni si différent du sien.
IL convient maintenant d'indiquer comment on doit grouper les
sons ou les points d'encre pour composer des signaux. Voici la mé-
thode adoptée par M. Dujardin. Tout signal se compose de deux
groupes successifs, comme l'indique le tableau suivant :