Full text: Traite de télégraphie électrique

   
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ÉLECTRIQUE, 369 
crétariat de l'Enstitut; nos efforts ont été inutiles; renvoyés à la 
commission chargée d’en faire l'objet d’un rapport, ils n’ont plus 
reparu , et il est impossible de songer même à retrouver leur trace. 
Il est plus d'un académicien dont le cabinet de travail est un 
abime sans fond : Ælumina intrant in mare, et mare non redundat : 
avis aux auteurs! Nous regrettons vivement de ne pouvoir donner 
même une idée Au loch de M. Bain, charmante et utile application 
de la télégraphie électrique. M. Eugène Arnoult aurait seul pu 
sauver du naufrage la description donnée par M. Bain, mais dans 
son compte rendu de la séance du 29 « ctobre il n’a recueilli que ce 
qui concernait l'horloge dont nous avons donné le dessin. 
Un physicien habile, professeur à l'Université de Liége, 
M. Glaesener, a adressé tout récemment à l'Académie des sciences 
une note très intéressante sur diverses modifications apportées aux 
télégraphes et aux horloges magnétiques; si nous n'étions pas si 
empressé de mettre fin à cette trop longue étude, nous aurions 
demandé à M. Glaesener, qui nous honore de son amitié, les 
dessins de ses appareils ; bornons-nous pour le moment à rapporter 
la note insérée dans les Comptes rendus de l’Académie. 
La modification fondamentale imaginée par M. Glaesener se rap- 
proche beaucoup du perfectionnement proposé par M. Dujardin, et 
que nous avons longuemeht décrit, 
« Horloge électrique sans pile. — Pour développer un courant 
magnéto-électrique d'une intensité suffisante pour faire marcher 
une horloge électrique , où un télégraphe, par le mouvement d’une 
horloge réglée sur celui du soleil moyen, j'avais à remplir ces deux 
conditions : 1° de rapprocher et d’éloigner très promptement le fer 
de contact des pôles de l’aimant ; et 2° de le faire régulièrement au 
bout de chaque seconde où au bout de chaque cinq secondes. 
» Or, le mouvement de la roue d'échappement d'une horloge 
est trop lent, et il est d’ailleurs beaucoup trop faible, même après 
que les poids de l'horloge sont doublés et triplés, pour détacher le 
fer de contact des pôles de l'aimant qu'il faut employer. Pour vainere 
celte difficulté , j'ai conçu l'idée de comparer les effets chimiques, 
physiologiques et physiques qu'on produit en détachant le fer de 
contact de deux pôles à la fois, et le faisant ensuite retomber subi- 
tement , à ceux qu'on obtient si, à l’aide d’une charnière, on fixe 
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