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petite pile voltaique formée d’une plaque de cuivre , plongeant dans
ÉLECTRIQUE. 379
des instruments qui enregistrent d'eux-mêmes les observations mé-
téorologiques , il est appelé à faire faire à la plus utile des sciences
des pas de géant.
La fig. 1, pl. XV, représente cet appareil tel qu’il est installé
dans l’observatoire de Kiew : sa hauteur, en y comprenant le
châssis et le pied, est d’un peu plus de six pieds anglais. Il est ac-
tuellement disposé de manière à enregistrer les indications de trois
instruments : le baromètre a, le thermomètre # , et le spychro-
mètre, ou thermomètre à boule mouillée, faisant fonction d’hygro-
mètre c; mais il est susceptible d’être étendu à deux autres instru-
ments : l’anémomètre , sans doute , et l'actinomètre. Il se compose :
1° d’une horloge régulatrice, dont À est le pendule et B le poids ;
à cette horloge sont fixés tous les mécanismes destinés à régler les
mouvements divers : 2° d’un rouage mû par une puissance indépen-
dante et permanente, le poids €, entièrement libre, et qui n'est
mis en jeu qu’au moment où l’on fait les observations. L’observa-
tion est faite par la première partie du mécanisme, elle est enre-
gistrée par la seconde.
Dans la description du mode d'action de lenregistreur, il
suffira de ne considérer qu’un seul instrument, le baromètre, qui,
dans ce cas, est un baromètre à syphon : ce que nous disons de ce
premier instrument s’appliquera à tous les autres. Reportons-nous
à la fig. 2, qui représente une vue un peu déformée de la partie
postérieure de l'instrument. F est an éiectro-aimant , un aimant
temporaire, c’est-à-dire un morceau de fer doux entouré d’un
grand nombre de tours d'un fil de cuivre isolé ou recouvert de soie;
k est une armature en fer doux se mouvant sur son axe vers la
droite ; elle est représentée sur la figure en contact avec l’électro-ai-
mant devenu actif par le passage du courant. Si le courant cesse,
le fer doux cessera en même temps d’être aimanté, l’armature
tombera : dans sa chute, son bras de levier frappera contre l’ap-
pendice ou coude du levier », et rendra ainsi libre la détente du
rouage indépendant qui doit imprimer les observations. L'inter-
ruption du courant et l'impression des observations sont donc tou-
jours synchrônes , c’est-à-dire ont toujours lieu en même temps.
La route parcourue par le courant est la suivante : D est une
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