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TÉLÉGRAPHE A UNE AIGUILLE, 
cylindre sont garnies de deux viroles métalliques &, €, 
isolées l’une de l’autre. La partie inférieure de la virole c 
porte une pointe métallique e; la virole a communique 
avec le tourillon à, et porte à sa partie supérieure une 
pointe métallique d. Ces deux pointes e, d, sont dans le 
même plan que l’axe de la poignée extérieure M. K est 
une colonnette de cuivre implantée dans la paroi anté- 
rieure de la boite; son extrémité libre porte une pièce 
métallique horizontale 
Six ressorts métalliques sont disposés sur les côtés du 
cylindre, trois à droite, trois à gauche. X communique 
d’une manière permanente avec la borne extérieure N 
et avec la virole c. X' communique d’une manière perma- 
nente avec la borne extérieure P, avec le tourillon b, et, 
ar son intermédiaire, avec la virole «a. Z, Z/, placés 
dans le même plan transversal, appuient sur les extré- 
mités de la pièce métallique f, et communiquent d’une 
manière permanente, Z avec la borne extérieure T, Z’ avec 
la borne intérieure V. Les ressorts Y, V', placés en face 
l’un de l’autre dens le même plan transversal, commu- 
niquent d’une manière permanente, le premier avec la 
borne extérieure T, le second avec la borne intérieure V; 
ces ressorts sont trop courts pour atteindre la virole €, 
mais ils peuvent être mis alternativement en communi- 
cation avec cette virole par lPintermédiaire de la pointe e. 
Quand la poignée extérieure M du manipulateur est 
tournée à droite, la pointe e touche le ressort Y et le met 
en communication avec la virole c ; tandis que la pointe d 
repousse le ressort Z', l’éloigne de la pièce métallique f, 
et le fait communiquer avec la virole a. Si la poignée M 
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