APPAREIL MORSE. 183
mouvement d’horlogerie, et entraîne le papier avec une
vitesse uniforme. Sur le cylindre supérieur b est tracée
une rainure Circulaire qui correspond au milieu de la
bande de papier YY et à la pointe de la vis V im-
plantée obliquement dans l'extrémité du levier métal.
lique D.
Nous avons déjà dit que les extrémités du fil des bo-
bines de l’électro-aimant E de l'appareil à signaux sont
fixées aux bornes d et e; ce fil communique, d’une part
avec la colonne F' et la vis /”’ du relais, d’autre part
avec la borne C et le pôle positif de la pile locale. — Le
levier métallique D de l'appareil à signaux est mobile
autour d’un axe horizontal passant par les extrémités
d’un système de deux vis O engagées dans une pièce mé-
tallique à fourchette fixée à la plaque métallique X de la
boite B. Une des extrémités de ce levier porte la vis métal-
lique V, dont la pointe correspond à la rainure circulaire
du cylindre ?; l’autre extrémité est munie d’un cylindre
creux de fer doux À, faisant fonction d’armature, et placé
au-dessus des surfaces polaires de l’électro-aimant verti-
cal E. Cette dernière extrémité, par un prolongement mé-
tallique, s'engage entre les pointes des deux vis g, f. La
vis inférieure g est engagée dans une pièce de cuivre fixée
à la colonne métallique creuse G; la vis supérieure f
passe dans une pièce de cuivre fixée à l’extrémité de la
colonne métallique F logée dans la colonne G, et isolée
de cette dernière par une plaque d'ivoire. Les deux vis f, g,
électriquement isolées l’une de l’autre, servent à limiter
l'amplitude des oscillations du levier D; d’ailleurs, la vis g
est réglée de manière que l’armature À puisse s’appro-