290 CORRESPONDANCE TÉLEGRAPHIQUE.
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viroles métalliques sur lesquelles appuient des ressorts
d'acier. La lame triangulaire est mise en communica-
tion par le ressort de sa virole avec le pôle positif de la
pile dont le pôle négatif communique avec Îa terre. Un
ressort mobile parallèlement à l'axe du cylindre, et qui
communique avec l’un des bouts du fil de ligne, appuie
» sur la surface du cylindre, et se trouve, à chaque révo-
lution, en contact avec le pôle positif de la pile, par
l'intermédiaire de la lame triangulaire.
» D'ailleurs, si l'on imprime au cylindre un mouvement
de rotation uniforme et déterminé, il est évident que la
» durée de ce contact augmentera ou diminuera, suivant
qu’on poussera le ressort mobile vers la partie large ou
vers la partie étroite de la lame métallique. Un vernier
est disposé sur l'axe du cylindre pour mesurer, avec le
secours d’un courant et d’un galvanomètre, la durée
de ces contacts. Un cinquième ressort, qui passe sur la
lame de dérivation, sert à fermer un circuit de dériva-
tion placé à l’autre bout du fil de ligne, un instant avant
que le contact du premier bout du fil avec le pôle de la
pile soit interrompu. inang
» L’extrémité du fil de ligne à laquelle est adapté le |
circuit de dérivation est en communication permanente |
avec la terre. Si, d’ailleurs, l'intervalle de dérivation est |
convenablement choisi, et s’il reste constant pendant |
une même expérience, il est évident que, la durée du
courant dérivé étant toujours la même à cause du mou-
vement uniforme de rotation, un galvanomètre placé
dans ce circuit donnera des déviations dont les inten-
sités correspondantes seront | roportionnelles à l'inten-