SONNERIES. 79
un second coup sur le timbre T. Tant que dure l’émis-
sion du courant sur la ligne, la palette L, sous l'influence
des actions alternantes de l’électro-aimant et de la lame
élastique, oscille autour de sa position d'équilibre, et le
marteau M frappe sur le timbre T.
| Relais de sonnerie. — L'électro-aimant de la sonne-
€ L eu rie à trembleur, pour agir d’une manière efficace sur le
marteau, doit être animé par un courant d’une certaine
LM tr intensité. On assure le jeu régulier de cette sonnerie en la
faisant marcher sous l'influence d’une pile locale, par l'in-
termédiaire d’un relais (fig. 23).
tree E est un électro-aimant horizontal fixé sur un socle de
bois : ses surfaces polaires agissent sur une palette de fer
doux, ÿ mobile autour de l’axe horizontal passant par les
extrémités des deux vis v, v’. Ces deux vis v, v’, sont im-
). Ce dernier plantées dans une fourchette métallique horizontale sou-
tenue par une tige métallique verticale »# fixée elle-même
au socle de bois par un pied métallique en équerre C.
A À l’état de repos, la palette p, maintenue verticale par
le ressort antagoniste /, appuie contre la pointe isolante
d'ivoire de la vis d. Quand la palette est attirée par l’élec-
tro-aimant E, sa partie supérieure heurte la pointe de la
vis métallique d’, et sa partie inférieure vient appuyer
contre le petit ressort métallique 0 fixé au pied de la borne
métallique 4.
La borne L reçoit le fil de la ligne, et communique
d’une manière permanente avec la borne a. La borne T,
qui donne attache au fil de terre, est en communication
avec la borne 4/. Par suite, le courant de la ligne arrivé
en L passe à la borne à, traverse le fil des bobines, de