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L'ARCHITECTURE THÉATRALE, 1:17
de figure elliptique , il n’y auroit qu'à
lieu ses la fcène à l’un des foyers ; : la réflexion
ou réaction de la voix contre fon pourtour # Z
d m n, {e trouveroit également répercutée. où
FeRpoNée de toutes parts contre l’autre foyer g
où eft communément placé | la a plupart de land
L
toire. Alors le concours de tous ces renvois for
+
b
meroit par leur réunion vers cet endroit g, une
colonne fonore, mo foutenue dans toute la
hauteur de la Salle, laquelle , en entretenant lono-
temps le mouvement de l'air , donneroit du cotps
;
* _ : ,
à la voix , lui procureroit le plus grand effet qu’il
Gr
fut permis d’en attendre dans tout lieu de mème
étendue, mais d’une autre forme, & la propager ds
ce
en quelque forte à Pr pion , au el nt qu'il e
ctoire qu'on entendroit
9
1 4
raléement des places:le
plus Hipnées de la fcèn
fines (1).
Lo
, comme des plus voi-
(1) Tout l'artifice de ce qu'on nomme Cabinets fecrets,
ne confifte qu'a les difpofer aufli en forme elliptique,
ET:
parle tout aufli bas qu'il peut t à l'oreille de FRS un. les
Alors , fi une perfonne placée à l’un des foyers f
f 6
a ts
rayons d'air mis eh mouvement par la voix, en rencontran
les murs du cabinet, vont tous réfléchir vers l’autre
foyerg ; d'où-il réfulre que celui placé au lieu g entend
la perfonne qui parle es f , auffi diftin@ement.que f elle
B
TP PETTE z à NN 2 FES