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L'ARCHITECTURE THÉATRALE. 19
En vain efpéreroit-on trouver de femblables
avantages dans quelque autre courbe. Seroit-ce
dans la figure demi-circulaire Fig. IV? Comme
les rayons ab, at, ae, font toujours perpendicu-
lairesà fa courbe, en fuppofant la voix au centres,
qu’en réfulteroit-1l , finon qu’elle feroit renvoyée
vers l'acteur & non au milieu des auditeurs,
comme dans l'elliptique ?
dra à fixer les foyers f & g, en portant la moitiéue
du grand diametre , depuis chaque extrémité € & d du
petit , de part & d'autre vers le grand ; & le point d'in-
terfetion où de rencontre f & g, marquera [ur le grand
diametre la place des foyers. On peut tracer l'ellipfe à la
main en élevant des lignes perpendiculaires au grand
diametre, {ur lefquelles on déterminera par des moyennes
proportionnelles entre le grand & le petit diametre,
les points par lefquels doit pafler fa courbe : maïs comme
ce procédé eft long , on fe borne dans la pratique, à
placer aux foyers f & g , des piquets où l’on attache les
extrémités d'un cordeau égal en longueur au grand dia-
metre a ; alors, en faifaut bander ce cordeau uniformé
ment , à l'aide d’un traçoir on décrit {a courbe 2r ko/d
mn bcp g, dont tous les points fe trouvent conféquem-
ment fans ceffe éloignés des foyers f &g, de lalongueur a 2.
Onappelle vulgairement cette maniere de faire l'ellipfe,
l'ovale du jardinier, pout la diftinguer des ovales quife
décrivent par quatre centrés.
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