DÉVELOPPEMENT NUMÉRIQUE DES PERTURBATIONS DU MOUVEMENT, ETC. yl
Comme le développement ci-dessus est réel, les coefficients
de e i ^s~ ( i's''> et e~ i seront des quantités imaginaires conjuguées,
et le retour à la forme réelle, si on la préfère, sera immédiat.
Supposons en particulier que l’on veuille calculer la partie de
saires à la détermination des perturbations du premier ordre de la
planète M dues à l’action de M', et indépendantes de g , et en parti
culier, par suite, de celles de ces perturbations qui sont séculaires.
Si l’on voulait se limiter strictement au calcul de ces perturbations
séculaires, on pourrait, dans le même ordre d’idées, établir sans peine
les formules correspondantes : nous y reviendrons à la fin du Chapitre,
quoique cette limitation stricte paraisse peu justifiée pratiquement.
Si l’on donne à l’indicey les valeurs o, 1,2, ...,/< — 1, et si la valeur
absolue de q — n est suffisamment inférieure à -» on peut écrire avec
Si q et q' sont donnés, et que l’on veuille calculer spécialement le
il pourra être plus convenable, au moins dans certains cas, de
commencer la sommation en faisant varier l’indice /i, contrairement
à ce que nous avons fait ci-dessus.
qui est indépendante de
; on aura pour cette partie
En faisant ce calcul pour p = p = -> on aura les fonctions néces-
exacti tude
S(B p n )j enfisi,
et par suite
\ j e ün-q)gj .
coefficient de e l q'g'ï dans le développement de
112 . Examinons maintenant comment on doit adapter au calcul
numérique la méthode exposée au n° 108 , dans le Chapitre précédent ;