ÉQUATIONS DONT DÉPENDENT LES PERTURBATIONS DE LA THÉORIE SOLAIRE. X~ I
Si l’on porte ces expressions dans la seconde et la troisième des
équations (4), et que l’on identifie les deux membres de chacune, on
tombe ainsi sur les relations
p».°= P 0 .‘= O,
2 P 2 . 0 = g'W J 0, « ] 2 P®»* = A'<M J g • »,
PM= A'UOJO.O^ ^'O.IJO.0,
Comme la fonction P est proportionnelle à la partie constante de la
parallaxe ÿ > si du moins on néglige les termes qui dépendent de a, on
voit qn’il en résulte des relations intéressantes entre les coefficients
du développement de cette partie constante ainsi limitée et ceux des
développements analogues de g' et h'. En particulier, la partie con
stante de la parallaxe ne saurait contenir aucun terme du premier
degré par rapport à e 2 et y 2 , ainsi que nous l’avons vérifié précédem
ment dans quelques cas simples ; on a aussi
5 , P’,0 o 'l,0 2 P°,2 /¿'0,1
|>U g-'o,i ’ pi,t — h'Tfi ■
Ces propositions sont connues sous le nom de théorèmes d'Aclams
on voit comment on peut les généraliser.
Nous savons que l'on a
2 2 x->
t65q , 852o5
■—A /п 4 -t- ———.
— m- — ^r- m? ) e 2 -+-
x 3 x 6
93
- т г — — //¿ 3 ] y 2
2 X“
— m 2 -+■ m 3 je' 2 -!-...,
2 3 2 °
h’ — m 2
2 2
I 9 2-J
0 7 123 ,
—- m 3 — — m h -t- ■ ni 0
2° 2 7 2 1
/ 3 , Ç )3
m- — m
\ 2
7->
3l s 2 + ( _ m 2 __ m 0 j T 2
9
»2
i o 5
/n 3 j s' 2 -4-. . . ;
la partie de P qui dépend de $ 2 et y 2 sera donc
n- a 2
3 , 627 .
— m- -1 m 3
2 ® 2 3
£ 4 -f-
3 , , 93
—- m 2 '
т' л ) s 2 v 2
2 6 / *