LES INÉGALITÉS SECONDAIRES DU MOUVEMENT DE LA LUNE. KJJ
Appelons actuellement r x et r" les longueurs des vecteurs SG et SP",
puis ïi, ji, , et x , y , z leurs projections sur les directions fixes
des axes ; et faisons
d après le choix.des axes, on a g, = o, si du moins, comme il con
vient ici, on regarde les mouvements de G et de P" autour de S
comme purement képlériens.
et si l’on regarde A comme une fonction de / 2 ,, q 1: p" ) q\ s\ il
vient
Soit U| la longitude du vecteur SG; supposons l'orbite de la pla
nète P" autour du Soleil S définie par son inclinaison j" et la longi
tude 0" de son nœud ascendant, et faisons
en appelant encore v” la longitude dans Forbite pour la planète P",
on a
Pl = #l-t- IJi, p”=x"+iy'\
q v = Xi — ly j, p~x"—iy",
s’ = is ";
On a
P ’ = P"~Pn
Q. = ç "— q.u
S" = 5",
y". = siu — e-iï" V’_. = sin — e'O";
2 11 ‘2
A 2 = r‘\ -i- r "~— /-j r”( i — y'; Y-i ) ‘’*M- — <’"}]
— r i r ' [T Í 2 + i ’"' 1 -+- Y- i
el
On constate alors sans peine l'identité
à i / „ <) „ à \ i à
2 à_
ï"i () i-\ ..
Y"i
et par suite, puisque l’on a
S"
A»*