LES INÉGALITÉS SECONDAIRES DU MOUVEMENT DE LA LUNE. 3ol
moyenne dans l’orbite kçplérienne de la planète P 7 autour du Soleil,
et posons ici
les éléments correspondants pour l'orbite liéliocentrique du point G
sont n , a-, s', G’, )/, = e l1 ', z\ = -e‘ L ’, si, = — les seules
notations nouvelles étant l\ et a\, et d’ailleurs on a l\ = N' + -.
D'après les n os 90 et 91, on a toujours
- = 1 I a | s +?/’ X "-•*+'/' A f I W ,
\ ci'a"
am conditions suivantes :
i° les quantités A f sont celles définies au n° 91, à la condition d'y
remplacer x i} x 2 , x x , x'., respectivement par s), z'_ l , s", e , ;
a 0 les quantités Bf sont de même celles définies au n° 91, à la con
dition d’y faire
3° les coefficients de Laplace b p n sont calculés pour a == ou a = A,
suivant que la planète perturbatrice est supérieure (Mars, Jupiter,
Saturne) ou inférieure (Vénus, Mercure) : dans le premier cas,
la caractéristique D appliquée à ces coefficients est conservée comme
elle figure dans les formules, tandis que dans le second cas, elle doit
être changée en — D.
Dans ces conditions, on peut écrire
y a' a" $
C étant un monome de la forme
p,x; i' \"'i" g', t>\ e[ /;-> s'i e"/;-' i \,
où B est une fonction linéaire et homogène à coefficients numériques
des coefficients de Laplace et de leurs dérivées, les D k b p n ; de plus on
a nécessairement q (j = q \— q"_ r Observons alors que, si l’on
considère - comme fonction de a , \\, s), s' ou bien des quantités