LES INÉGALITÉS SECONDAIRES DU MOUVEMENT DE LA LUNE.
et comme on a
O = I ■+- £—1 -+-
X = G(i — 3 е_,-4- ylj £ -1 Y-! ■+- £ -1 T' 1
le terme à considérer de SR est
Il en résulte en particulier
et l’on voit sans peine que cette inégalité reste tout à fait inapprécia-
le coefficient k serait nul en effet si la Terre était constituée symétri
quement par rapport à l’équateur, et par suite, sa valeur résulte du
très faible défaut de symétrie entre les deux hémisphères terrestres.
L’influence de la forme de la Lune sur son mouvement autour
de la Terre est extrêmement petite. La fonction perturbatrice dont
elle dépend est la même que ci-dessus, quand il. s’agissait d étudier
l’action de la forme de la Terre, à la condition d’échanger M et M 0 ,
et de regarder les quantités A, B, G, A, u, v, ... comme se rapportant
aux axes d’inertie principaux de la Lune relatifs à son centre de
gravité L, soit Le, Lr,, I_A.
Supposons A<B<C, et définissons comme précédemment la
position relative des deux systèmes d’axes L£r]Ç, L xyz, ces derniers
étant parallèles aux axes fondamentaux TXYZ : y, désignant le
nœud ascendant de L xy sur Lç-q, w est l’inclinaison correspondante,
et l’on a
ble. à moins de donner à Д des valeurs certainement inadmissibles :
a A
a
— ? = Yi L X'
En faisant encore ici
G -
A + B
B — A
= 2 M к
2
2