LES INEGALITES SECONDAIRES DU MOUVEMENT DE LA LUNE.
suivantes :
ri. / n , , , r 1 i / ,, 3 ni 2 <FF
\) 2 x -t- 2 m D# -h x k o"(xy -+■ i s 2 ) h 1-2
2
à 2 F
àx à y
F
3, , 3 /n 2
kp°# 2 4 - + 2 ,
2 2
<F F
<)y ôz
4 -2 DX'h- 2 m X' = o,
r., , , ,, 3 . „ 3 /« 2 (FF
D 2 y — 2 >n Dy' - 1 - x ( - k p°y 2 4 - -l- 2 y-j
, r I 1 3 m 2 à 2 r
4-jk - k f b (#y -+- iz 1 ) 4 1-2
«F ]
<)x <)y J
D 2 z'
4- z' ^ — 3 k p s jGz 4 - 2 y-y j ■+■ 2 F)Y' — -xm Y' = o
, / 3. , (FF \
+ *t ï k ^ 3 - 5 ^i)
(FF
r; 2 f
4 - s' ( — k y‘(xy 4 - 2,s 2 ) — m 2 — yF j -I- 2 DZ' = o.
Les développements des coefficients de ces équations peuvent être
facilement obtenus, sans qu’il soit utile d’insister sur ce point, et par
suite on aura aisément les développements correspondants des incon
nues#',^', g', en appliquant toujours la même méthode d’approxi
mations successives qui nous a servi pour le calcul des coordonnées
lunaires. Et si l’on demeure au point de vue analytique, nous voyons
encore que l’usage de ces équations pourra fournir des vérifications
efficaces pour le calcul des coefficients des coordonnées ; et l’on en
peut dire autant des équations analogues relatives aux autres para
mètres e, y, cp 0 3 0 . Rappelons seulement que, si /est une fonction
de m et a, on a
n — îv à
a On
en prenant toujours
-(a/j
I 4- /)l
2 ni 4— ni 2
2
k = 1 4 - 2 /n h— ni 2 .
2