CHAPITRE XV.
A 6
De même, 8 (¿ 7 ) est une somme analogue 2 Ce iW il 2 G' e ia>, r
•v et 5' étant nuis dans w'; mais le résultat est purement imaginaire,
de sorte que l’on a encore le développement trigonométrique réel
symétrique
0 1 — SCsinoi + íXC 1 COSü)'.
L’expression de £í( 8 e 2 ) est aussi une somme analogue
E Ce 1 '“ -+- it S GV W ',
mais complexe, et l’expression de £2(08!) en est la conjuguée. Si l’on
prend les valeurs des inconnues e et to sous la forme
£ -+- &£ -t- O 2 £ + . . . . 73T —t— OTO 8 2 TO -+- . . . ,
ou bien celles de e costo et e sinra sous la forme
£ COSTO + 8 (e costo) -4- 0 2 ( £ costo) -K.., £ sin TO + §( £ sin TO) H- 8 2 ( £ sin TO)-t-.. .
les constantes s et to correspondant aux constantes e, et e 2 par les
relations 2 s, = ze~ lTS , 2 £ 2 = ee icI , on a immédiatement pour les parties
de 8 s, s oto, o(e costo), 8 (ssinTO), qui proviennent de l’action de la
planète ¡VT, les développements trigonométriques réels non symé-
1 riques
8 e = — ( E C cos a) — t E C/ sin «' ),
£
/,
e 8 to = - ( E G sin w + ¿ S G' cos to' )
£
o( e costo ) = - | E G cos( w -t- to) — iSC'sin(u)'+ to)].
V
S ( £ si n TO ) = 1 [E C sin (10 - 1 - to) - 1 - IEG' cos ( w'-f- to)].
On peut répéter la même chose sur les éléments y, 9 , y cos 9 , y sin 9 .
en partant du développement de yi(Sy 2 ).
99 . Il n’y a aucune difficulté dans ce qui précède : pour en montrer
une application simple, cherchons les perturbations indépendantes
de À', en ne dépassant pas le premier degré par rapport aux excentri
cités et aux inclinaisons.
En raison de l’abaissement de degré qui se produit quand on passe
d un terme A de la fonction perturbatrice au terme correspondant
de oe 1 ou 8s 2 , 8y, ou oy 2 , il faut prendre, en profitant des résultats