THÉORIE DU MOUVEMENT DE ROTATION DE LA TERRE.
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On en déduira, en ne retenant que les termes utiles, c’est-à-dire
ceux qui donnent dans l’un au moins des angles 0 et e des inégalités
qui dépassent o",oo6 :
Qo= [T ,99674 J,
X P 0 cos V 0 = [1,2107] cos O — N1 ) 4 - [2,493] cos ( N -I- Ni — 2 N')
-I- [2,43o] cos (2 N — 2N'),
X P 2 cos Y 2 = [T, 994B] cos 2N -+- [2,446 — ] cos (Y -t- N,)
-+- [1,277] cos ( 3 N — N-i) -+- [ 3 , 6 o 8 ] cos 2N2 -t- [4,86] cos 2 N',
2 P a cos \’i = [2,9:33i] cos N«-+-[2,948 —] cos(2N —N 2 ) + [ 3 , 4 o] cos(2N —N«).
159 . Nous allons aborder maintenant l’intégration des équations (6),
en prenant d’abord celles qui déterminent Q et e. Remplaçant
comme nous l’avons dit 10 et '1 par s et 9 dans les dérivées
on a
¿/G
dt
= — j cos £ [ k Qo -I- k' Qo -t- k S P 0 cos V 0 -t- k' £ P' 0 cos 4 ' 0
— k S P, cos ( V 2 - 2 0 ) — k' S P 2 cos ( V', - 2 0 )]
. COS 2 c. . , .. C/~I
-+- 7 — 2 k P, cos (à 1 — 0 ) —(i — cos 1) -77 — ¡-icot e,
J sin £ ai
^ =— / sin £ [Æ £ P2 sin (V-,— 2O) -+- k' £ P'., sin (V' 2 — 20)]
dt
— j cos £ £ k P j cos ( V| — 0 ) — X,
en se rappelant que
„ „ di ...... r,. d'ij
X = cos ( 0 — .U ) -j- -+- si n L sin ( 0 — ^ ) >
. . „ - „ di . . r. c., cB
[J. = — sin ( 0 — 3 ) ~r ( -P si n 1 cos ( 0 — .J ) — •
Laissons de côté dans les équations précédentes tous les termes qui
ont un caractère périodique, et faisons
,/(k Q 0 -f- X’Q'o) = S 0 -1- S,
en mettant en évidence la variation séculaire de Q () , due elle-même à
la variation séculaire de l’excentricité de l’orbite solaire. Il reste
dt
(h
dt
(S 0 -+- S,i) 4 - (1 — cos i)
cB
dt
[J. col
2'i
ANDOYLR