Full text: Cours de mécanique céleste (Tome 2)

et celle de M sur M, les formules (2) montrent que les parties prin 
cipales des inégalités correspondantes 01 ori, os 2 , ôe' 2 , ôy 2 , Sy', sont 
dans des rapports simples qu’il est superflu de préciser davantage. 
11 n’en est pas de même pour les parties principales de ol et de 0/'; 
si u. désigne le coefficient analogue à p', mais relatif à l’action de \1 
sur M', et si P est le degré total de A par rapport aux excentricités et 
aux inclinaisons, on a, en confondant encore n avec v, ri avec v' : 
\l! V Al 
(¿'V + aV ) 2 
aV 2 à 
4 p • 
7 —; ( '2 -f- p 1 ;4- p 2 — r 1 —|— /’«), 
>,J ' ' -V- (2 + />'1 + /A -f- ri -f- ri ), 
AV -f A V 
ou encore, d’après la valeur de ou : 
,i P — 2, on a donc exactement 
6 A/l 0 ( ) 
si maintenant les inégalités considérées sont à longue période, cette 
même relation a encore lieu quel que soit P, mais seulement d’une 
façon approchée, car le rapport ^ est évidemment fort petit dans 
ce cas; plus exactement, puisqu’en raison de la petitesse du diviseur 
so -+-sV, la partie la plus importante de 0 (/ 7 ) est de beaucoup celle 
qui dépend du carré de ce diviseur, on a sensiblement 
100 . La détermination théorique des perturbations d’ordre supé-
	        
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