et celle de M sur M, les formules (2) montrent que les parties prin
cipales des inégalités correspondantes 01 ori, os 2 , ôe' 2 , ôy 2 , Sy', sont
dans des rapports simples qu’il est superflu de préciser davantage.
11 n’en est pas de même pour les parties principales de ol et de 0/';
si u. désigne le coefficient analogue à p', mais relatif à l’action de \1
sur M', et si P est le degré total de A par rapport aux excentricités et
aux inclinaisons, on a, en confondant encore n avec v, ri avec v' :
\l! V Al
(¿'V + aV ) 2
aV 2 à
4 p •
7 —; ( '2 -f- p 1 ;4- p 2 — r 1 —|— /’«),
>,J ' ' -V- (2 + />'1 + /A -f- ri -f- ri ),
AV -f A V
ou encore, d’après la valeur de ou :
,i P — 2, on a donc exactement
6 A/l 0 ( )
si maintenant les inégalités considérées sont à longue période, cette
même relation a encore lieu quel que soit P, mais seulement d’une
façon approchée, car le rapport ^ est évidemment fort petit dans
ce cas; plus exactement, puisqu’en raison de la petitesse du diviseur
so -+-sV, la partie la plus importante de 0 (/ 7 ) est de beaucoup celle
qui dépend du carré de ce diviseur, on a sensiblement
100 . La détermination théorique des perturbations d’ordre supé-