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CHAPITRE XXIX.
pour les équations conjuguées, ils seront de même B^ 0 [a' 0 t, en appe
lant p/ 0 la quantité conjuguée de u. 0 .
On voit alors que les valeurs précédemment trouvées pour
les y ; „ y' , y, y', doivent être augmentées d’une solution particulière
des nouvelles équations (9), que l’on peut prendre sous la forme
Y p — ( typ •+" Xp t 1 i u o + ( Vp ■+■ Xp ~ ) H-o >
ip = Wp — M-o-t- (typ -- 1p t ) H-o,
en appelant ù p , y p , <j/ p , •/’ des coefficients constants à déterminer.
Mais les <V p , y p sont d’ordre - par rapport aux coefficients correspon
dants <{y,, y p , et nous nous occuperons seulement de ces derniers,
qui. au surplus, interviennent seuls pour donner les inégalités de carac
tère non périodique des y' p primitifs.
En substituant les valeurs supposées des inconnues dans les équa
tions (9), on voit d’abord que les y vérifient les équations
B iXi— B 'i 2 X 2 — B 1 :t X 3 B i ^ X 1 * B » X. = B 'po>
K 'X — K iXi — K *Xs — K 3/.3 — K 4 x>=K' 0 ;
d’après la définition des quantités B et K', la solution de ces équa
tions est en évidence : on a
Xp = X = »•
Tl vient ensuite, pour déterminer les
B 1 4 »! — B', 3 ^2 - B', 3 ù 3 — B' t 4 — B'j 4 = i ,
K '4 — — K 2 <J/ 2 — K 3 <f 3 —
et il est facile de voir que si l’on appelle /¿' 0 la dernière valeur de h'
calculée au n° 170 , on a très sensiblement
< 1 =——, 1 = 4 » ^2 = [ 7 , 998 ]^, ^3 = 17 , 988 ]^, — [7 986]^)
n o
c’est-à dire que les rapports mutuels des quantités 'b p et ^ sont les
mêmes que ceux des quantités y p et y relatives à h' {) .
Désignons encore par H 0 et par y 0 l’argument H et le coefficient y
du n" 170 qui correspondent à la racine h' Q ; nous voyons qu’en résumé,
on passera des valeurs déterminées dans ce numéro pour les y„ et y