Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

Première Partie. Livre I. 
115 
Maintenant, si nous faisons la constante A, qui est encore à notre dis 
position, égale à A n que nous intégrions et que nous égalions la constante 
d'intégration à zéro, c’est-à-dire, la constante b à b l , notre résultat sera: 
M 
0 — « 3 sin L 2 — l - al sin 2 L. t -f- J-«2 sin 3 L a 
formule en pleine concordance avec celle qu'on aurait pu tirer immédiate 
ment de l’équation (12) du chap. I. 
Passons au deuxième cas. Puisque maintenant oq est plus grand que 
l'unité, nous mettons: 
«„ -f cos L.. 
i -1 cos L 
i a. 
I -f 2a, cos L. -fa la., 2 _ I 
2 2 2 I + — cos ZL + — 
= — i cos L <t -I—- cos 2 L„ 
, • clO 
Avec ce développement, nous aurons, en vertu de l’expression de la 
suivante: 
~ = A, — A + (A — A.) j 1 — — cos L + ~ cos 2A — ... j. 
dv 1 w a 2 1 a-i * 
Delà, il est visible qu’on doit mettre A — A 3 , afin que la fonction 0 ne 
contienne que des ternies périodiques. 
Puis, en intégrant, nous aurons un résultat que nous écrivons, eu égard 
à l’équation (12) (chap. I), de la manière suivante: 
(b) 
6 = b. — b -j- const. sin L -f- —-¿sin 2 j L — . . . 
2 ai 
1 j 
Maintenant, si nous faisons la constante d’intégration égale à ¿q — b 
et que nous égalions b à Zq, nous aurons la fonction d dépourvue de tout 
terme constant. 
Donc, s’il s’agit de mettre l’agrégat périodique 
A = a x cos (Aj v + b x ) + a 3 cos(A 2 v -f Zq)
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.