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Traité des Orbites des Planètes.
Mais puisqu’on a, de l’autre côté:
x
n
X
P
P
= C
i — a — [a n — a) i — a — {a v — a)
_— B — (B H — B) — B — (B p — B)
«
il s’ensuit, en comparant cette expression avec la précédente:
(16)
y. y
w ...
r¡ cos (je — B) — G
£
1
Ci
1
L B n — B B p — B ..._
y y
...
r¡ sin (jr — B) — S
a n — a ap — a
_B n — B B p —B ..._
(»)>
(’»)•
Il convient d’ajouter, aux formules précédentes, celle-ci:
(17) +pw-{p(w'-i) + I -p(w-w)~...
qui découle de l’équation (6).
Par les résultats que nous venons d’obtenir — et dont la nature géné
rale n’aurait pas été altérée si l’on avait obtenu une autre valeur de g
— il est manifesté que le périhélie, même dans le troisième cas, a un
mouvement moyen. La valeur en est ¿m, et a est un nombre fini et réel,
généralement différent de zéro. C’est de même quant au mouvement
du noeud. Seulement dans des cas exceptionnels, il peut arriver que le
coefficient cr soit égal à zéro, ce qui rendrait le périhélie (ou le noeud)
oscillant entre certaines limites.
Quant à la question des mouvements des périhélies et des noeuds, les
auteurs dans le domaine de la mécanique céleste se sont généralement ex
primés avec quelque réserve. Seulement M. Stockwell, dans un mémoire
important sur les variations séculaires des éléments elliptiques, prétend
carrément que les périhélies (ou les noeuds) n’ont aucun mouvement moyen
dans le cas désigné dans le n° 33 comme le troisième. Cependant, en