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Traité- des Orbites des Planètes.
i signifiant L’unité imaginaire. Evidemment, la partie réelle de cette ex
pression est égale à la fonction F^, si l’on néglige tous les coefficients
anastématiques, vu qu’on a alors:
H = v — v'.
Quant à la partie imaginaire de l’expression signalée, on voit facilement
qu’elle est égale à la dérivée partielle de la fonction F par rapport à v,
cette dérivée divisée par in, ou bien, à la dérivée partielle par rapport à
v', divisée par — in, bien entendu toujours que les fonctions anastéma
tiques soient supposées égales à zéro.
En vertu de l’expression
p = cos (v — (o — (je — F))
rj(e i{
+ e
— i(v—W (K —/'))'
nous aurons facilement celle-ci:
p s =
- e
—f(8—2 )(tt—/') + i(s—2 )(b— tu)
j ^ 0 g— i(s—4)(r— /')+ i(s—4)(t>— w)
I . 2
+ . . .
| gi8(7T— D— ÎS(V— (U)
ainsi qu’une autre donnant p ,s ' parfaitement analogue à la précédente.
Ensuite, en multipliant les deux expressions, il résultera:
„S -18' 1 „S„'S’ I ÏS(ff— /')—+ —ro) + is'(«’—<«')
P P — ^S + S 7 r J T i 6
. S .
+ T e
is("— /’)—f(s’—2)(~’— /") + is(r ai) + f(s'—2 )[v'—w)