Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

Cette formule se continue à la page suivante. 
200 
Traité- des Orbites des Planètes. 
i signifiant L’unité imaginaire. Evidemment, la partie réelle de cette ex 
pression est égale à la fonction F^, si l’on néglige tous les coefficients 
anastématiques, vu qu’on a alors: 
H = v — v'. 
Quant à la partie imaginaire de l’expression signalée, on voit facilement 
qu’elle est égale à la dérivée partielle de la fonction F par rapport à v, 
cette dérivée divisée par in, ou bien, à la dérivée partielle par rapport à 
v', divisée par — in, bien entendu toujours que les fonctions anastéma 
tiques soient supposées égales à zéro. 
En vertu de l’expression 
p = cos (v — (o — (je — F)) 
rj(e i{ 
+ e 
— i(v—W (K —/'))' 
nous aurons facilement celle-ci: 
p s = 
- e 
—f(8—2 )(tt—/') + i(s—2 )(b— tu) 
j ^ 0 g— i(s—4)(r— /')+ i(s—4)(t>— w) 
I . 2 
+ . . . 
| gi8(7T— D— ÎS(V— (U) 
ainsi qu’une autre donnant p ,s ' parfaitement analogue à la précédente. 
Ensuite, en multipliant les deux expressions, il résultera: 
„S -18' 1 „S„'S’ I ÏS(ff— /')—+ —ro) + is'(«’—<«') 
P P — ^S + S 7 r J T i 6 
. S . 
+ T e 
is("— /’)—f(s’—2)(~’— /") + is(r ai) + f(s'—2 )[v'—w)
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.