Première Partie. Livre I.
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et si l’on suppose, dans cette équation,
c( I — ß x )
~~h~
= « a (i —-x 2 ); p = a(i —* 2 ) = c,
il s’ensuivra:
du —
\A’
d’où l’on tire:
r = a[i — y cos u).
Puis, en admettant la notation
f=(i—ç)v— F,
il sera facile d’obtenir les expressions
du = -—. X C09 U df ; ( i — y cos u) du = ( i — ç) a~~ï dr
\/i — x~
après quoi, en les intégrant, on parvient aux résultats
\ f = \ u ;
I — ç)a 2 (r — r 0 ) = u — y sin u ,
la constante arbitraire, introduite par l’intégration de la seconde équation
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différentielle, étant désignée par —(i — ç)a ‘ 2 t 0 .
On obtient finalement r en fonction de f au moyen de l’expression
a ( i — y 2 )
r = —.
I + X cos f
Qu’on remarque l’analogie des formules que nous venons d’établir avec
celles de notre deuxième exemple: il n’y a, en effet, entre les deux systèmes
de formules qu’une seule différence, à savoir que, dans les formules de
l’exemple présent, l’argument f remplace l’argument v figurant dans les
formules du second exemple. Cependant, la nature de la courbure, définie
par l’équation précédente, est bien différente de celle d’une ellipse; elle a
cela de commun avec l’ellipse, il est vrai, de rester toujours périplégmatique,
pourvu que l’arbitraire y soit inférieure à l'unité, mais elle jouit, comme