dont la différence est:
T/ J/" 2 (^i —
K /|d K »•<* ~ i ~
A ' b
Faisons voir qu’on peut prendre le nombre fi de manière que la différence
que nous avons mise en évidence soit si près d’un multiple de 2 tt qu’on
voudra, le nombre l étant fixé. En effet, si l’on désigne par m un nouvel
entier, et par d , une quantité irrationnelle plus petite que l’unité, on peut
mettre
(fi — Oc
i — C
m -f
o ,
d’où:
à ç to
fi -/ = T^~ç ~~ fi -/ '
Evidemment, les nombres fi — / et m peuvent être choisis de manière à
rendre le rapport ^ si approché de ~~ ff ue ^ on vou ^ ra - Es’ensuit, à
employer la terminologie de M. Gr. Cantor, que les points d’intersection
sont condensés dans toute l’étendue de l’isopycnote, et que les ensembles
sur les divers isopycnotes sont des images, les unes des autres. Il est
encore évident que la condensation est la même dans toutes les directions.
Sur chaque rayon vecteur appartenant à un V ld , prolongé jusqu’à la
circonférence extérieure, se trouve une infinité de points d’intersection, con
densés dans toute l’étendue de ce rayon entre les deux circonférences en
tourantes, mais la condensation n’est pas uniforme dans cette étendue.
Pour démontrer cette thèse, rappelons-nous qu’on obtient exactement
la même valeur de V ld , si l’on introduit, dans les formules générales, des
valeurs de / et d satisfaisant aux conditions
2/ -j - d — 2 fi -j- ffi — 2 fi -j- d 2 = . . . 5
il y a donc une infinité de points d’intersection sur chaque rayon vecteur.
Mais, voyons encore comment sont distribués ces points sur les divers
rayons.
Dans ce but, après avoir désigné par n un nombre entier, et par £,
une quantité déterminée au moyen de la formule
(rfi — d) c = 2 n -f 2 s ,
:
1
<