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Traité des Orbites des Planètes.
Dans la suite, lorsqu’il ne sera pas nécessaire de distinguer les diffé
rents indices, on pourra, en considérant une planète quelconque к attirée par
une autre l, omettre ces indices et écrire x ’, y’, z' au lieu de x t , y t , z n
en sorte que Гоп aura:
(0
ainsi que l’expression
îj = pi ‘
cVx . jux 3 i 2
dë + Г 1 = dë :
(P У fiy dfJ
dë + ^ “ di/
d 2 z ¡j.z di2
dë + r 51 = эГ :
XX + y y' + Z Z
[{x — x'Ÿ + (y — y'Y + (z — z') 2 ] 2
En admettant encore la notation
A 2 = (x — x'Y + {y—y'Y + (z — z') 2 ,
l’expression de la fonction ii sera donnée par la formule
XX + y y + zz 1
(2)
Si = 11 '
65. Dans ce qui précède, la fonction perturbatrice a été exprimée
comme fonction de coordonnées rectangulaires rapportées à des axes fixes,
mais % cette fonction s’exprime aussi moyennant des coordonnées relatives à
des directions variables. En effet, si nous désignons par £ , 57, C les
coordonnées rectangulaires des planètes k et l, ces coordonnées rapportées à un
plan mobile passant par le centre du soleil, et que nous supposions qu’on ait:
(I)
(Щ
x = a£ + prj + yÇ ,
y = oqÉ + YiV + П C
Z ^ Y 4 ^ "f” T'Y*')
x' = aç + pYj' + yC ,
y' = oqf -f Prf + ftC',
+ № + T,C,