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Traité des Orbites des Planètei
auxquelles on peut ajouter la suivante
di 2 i dQ
dR ~~ I — rf dç '
Maintenant, si nous différentions la relation entre r et p, il viendra:
dr a(i — y 2 )
dp (l + pY ’
ou bien, en admettant la notation
( 2 4) (c) = fia{ 1 — rjJ :
l
dV pr
dp (c) '
En vertu de cette expression, on parvient au résultat demandé, savoir;
/v dii _ dii __ pr 2 dQ
' 2 ^ dp ~~ d(p) ~ Je) dr'
*
formule qui peut être vérifiée facilement en y introduisant la valeur de R
donnée par l’équation (a) ou par l’équation (y3).
On obtient immédiatement, en différentiant le développement (a):
3 U
— = nA,r n ~ x -f (n + 1 )A l r n + . . .,
d’où l’on tire, en vertu de l’équation (25):
J = - W ! ” Ar ” +I + + ’)■+ • ; •!
n(c) n A n (n 4- i)(c) n + 1 A t
— (T+ p) n + l JF+ X (T + p ) n +' 2 ' ' ' ’
mais c’est justement cette expression qu’011 obtient en différentiant, par
rapport à p , l’expression (a), après y avoir remplacé r par sa valeur
——^ r. La formule (2 J) se trouve ainsi vérifiée. Le calcul n’aurait
p{\ + p) v
pas changé beaucoup si l’on était parti de la formule (/?).