Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

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Traité des Orbites des Planètes. 
* 
ou bien par celle-ci: 
( 2 ) 
Il est visible que la fonction y prend sa plus grande valeur positive 
lorsque p est égal à rj et p , à — r/. En désignant cette valeur par y x , 
on trouvera: 
= (V + 7')(2 + fj — fj) 
Zl (i + rj'Y 
= 2 Ù7 + y) 0? + v j)' 
1 + y, ( l + y'Y' 
Egalement, la plus grande valeur négative de y sera obtenue en mettant 
p égal à — vj et p', à p'. La désignant par — y 2 , on aura: 
(y + rj){2 + rj — yj) 
2 ( J 1 + vj) . (rj + Vj'y 
1 — y "*"0 — vV 
En considérant que les fonctions diastématiques vj et rj ont toujours 
des valeurs positives, on voit que les valeurs de y 2 sont toujours plus 
grandes que celles de y x , exception toutefois faite du cas où rj' est égal à zéro. 
Comparons encore les deux modes de développer les fonctions C^: 
(l* 
ou suivant les puissances de a 3 (i + y), ou suivant celles de - t y. 
Par la supposition que ^ soit constamment moindre que l’unité, la 
quantité â 2 , déterminée moyennant l’équation 
«’b +XÙ = 1 —à„ 
est nécessairement positive et moindre que l’unité. On en tire: 
a 3 = 
1 ~ à % 
1 + X* ’ 
a 2 I — 
1 — « 2 ~ Z* + â 2
	        
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