Première Partie. Livre III.
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Maintenant, si l’on attribue à i — y et à y leurs plus grandes valeurs,
il sera visible qu’on développe: dans le premier cas, suivant les puissances
d’une quantité dont la valeur maxima est i — d 2 , et dans l’autre, suivant
les puissances d’une quantité qui prend tout au plus la valeur — (i — d 2 ).
Tant que d 2 est considérable à côté de^ 2 , la seconde manière de développer
l’emporte sur la première, ce qu’on voit immédiatement.
Cela établi, je fais encore:
(3)
*=-- + (’br7!,>
en sorte que j’aurai:
(4) *=,_(, +,)(L±£.y
(p — p )( 2 + p + p ) ( 1 + P
C + pT l 1 + p
En supposant toujours p et p' moindres que l’unité, la fonction y
ainsi que ses puissances se développent suivant celles de p , p’ et a. Mais
avant d’entrer dans le détail de ces développements, j’introduis la fonction y
dans l’expression signalée de C^. Il viendra de la sorte:
î
— 7C
2
c<'> = - a“ +I
sin (p^dp
(5)
( 6 )
\J I — a 2 sin p 2 + ody sin (p*
0
En admettant ensuite les notations
sin (p 111 dip
{I — a 2 sin (p " 1 ] 2
.1 ,n l -3'5’--( 2s 0 « + 2i + l o(2* +1)
— a pn+s ?
' 1 2.4.6 ... 2 S
on obtiendra, en développant la formule précédente, l’expression
(7) C?> = ri’” ~ rl’ n Z + rl'Y - • • • •