Première Partie. Livre I.
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Traité des orbites absolues.
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zéro, ainsi que l'unité, qui figure, à la place de la variable indépendante,
entre les deux dernières parenthèses. De la sorte, on aura
et de même:
= a x cosÆj -f- a 2 cosaq
a x a 2
= a x sinaq -f- âq sinaq -f- • • • •
Les agrégats périodiques jouissent de quelques propriétés générales,
utiles à connaître: j’en vais donner un exposé rapide.
D’abord: on peut toujours mettre un agrégat périodique n’ayant aucune
vitesse de l’argument égale à zéro sous forme d'un produit de deux facteurs
dont l’un, le coefficient, ne passe jamais par zéro, et l’autre, un cosinus
ou un sinus, dépend d’un argument dont la vitesse est toujours différente
de zéro, et dont la partie initiale est un nouvel agrégat périodique ou du
moins, une fonction oscillant entre deux limites finies à laquelle se trouve
ajouté un multiple pair de la demicirconférence.
Désignons par X et b deux quantités constantes, réelles et encore indé
terminées; il s'entend facilement qu’on peut mettre:
a x a 2 . . é
a x « 2
c
( v ) = cosfih; -f à)C
X, —X X^—X ...
J, b, ■ ■ •_
_\ — b \ — b . .
— sin (Xv -f- b) S
à,—a
b, —b
«1
. . .
«i
a 2
Li,
L
( v ) = sin (Xv + b) G
X 1 —X
_b x — b
1 1
c* c*
-f- cos (Xv + b) S