Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

Première Partie. Livre III. 455 
(0) 
B(o, 0,0,0,»)= 2 n r Y + 4fl' n , 
0) 
B(i,o,o,o,«) = — (> 2 + n — 2 n^]rl ,n — [4» + 6 — \n(p\ r Y — 8 r 5' M , 
(2) 
B(i ,0,0,0, n) = — |> 2 + M + 2nV] r J’ n — [4» + 6 + 4«<r]rï’” — 8rî’", 
O 
B (o, i, o, o, «) = — n (à — i)rl’ n + 6 r \’ n + 8^>”, 
(3) 
B(o, i,o,o,«) = (3w 2 + w) r J’ n + (8n + 6) r ]’ M + 8 r J> n . 
Pour avoir les formules se rapportant à la fonction perturbatrice 
complète, il faut mettre, dans les expressions signalées, yl ,x — *a 2 au lieu 
de f /. 
Si n est égal à zéro, il faut observer que seulement la moitié des 
valeurs obtenues au moyen de ces formules doit être mise en usage. 
Mais il convient d’ajouter aux précédentes, les expressions analogues 
(c) 
des coefficients C( ), ce qui nous donnera occasion d’élucider, par un 
exemple, la manière d’obtenir les formules de M. Masal. 
Nous avons d’abord : 
ccR(«,o,o)= f 0 > n , 
oR(n, i,o) = —(«+ 3 ) r l’ n — 2 T Y, 
aR(»,o, i) = (« + 2) r Y -ff 2fJ’V 
formules, où les deux indices u , ¡/ sont partout égaux à zéro et par cette 
raison supprimés, et où l’on doit mettre pjj’ 0 — et 2 au lieu de pl’°, afin 
que les R se rapportent à la fonction perturbatrice complète. 
Ensuite, nous aurons, par les formules des numéros 29 et 30, 
1 __ — n( p, — — n, 
= np , = n. 1 
1 Les valeurs données dans le texte se trouvent déjà dans le mémoire de M. Harzer. 
On les déduit aisément, en faisant usage des règles que nous venons d’établir dans les deux
	        
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