Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

Première Partie. Livre III. 
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et nous supposons que les dérivées ^ et - 11 ^ soient de petites 
quantités du deuxième ordre par rapport aux forces troublantes, vu qu’autre- 
ment la transformation serait sans succès. Evidemment, les constantes g 
et b , dont nous supposons la première du même ordre que les o x , g 2 , ... 
pourront être choisies de manière que 0 devienne exempt, soit du terme 
constant, soit du terme séculaire. 
Par ces suppositions, on comprend aisément que le premier terme du 
second membre de la formule 
(i 5) J £ cos ((A -f- (j)v -f- b -p 0 )dv — ^ g sin ((A -(- g) v -j- b -f- 0 ) 
— 7—j—- f sin ((A g) v b) ( °"^ dv 
— T^f C0S ( {À + a)v + 
l’emporte beaucoup sur la sommé des deux derniers, tant que A est une 
quantité de l’ordre zéro; c’est-à-dire notablement plus grande que g , en 
sorte que ce terme donne une valeur approchée de l’intégrale proposée. 
Les deux derniers termes sont en effet, on l’entend facilement, des quantités 
du deuxième ordre. Mais si au contraire, A était aussi une petite quantité, 
comparable à o x , <r 2 , . . . , le premier terme du second membre ne donnerait 
plus la valeur approchée de l’intégrale. Pour parvenir à une vraie approxi 
mation dans un tel cas, il faut d’autres méthodes d’intégration; et avant 
tout, il ne faut pas alors oublier que l’argument renferme le terme —s'U. 
Ce que nous venons de dire s’applique aussi à la formule 
(15') fs sin ((A -f- g)v + b + 0 )dv — — ~r~~ cos ((A + a) v + b 4- 6 ) 
•A A ~ j ~ ff 
+ xL /°° S ( (A + a)v + b )^r^ dv 
-JTÍ fsm((X + a )v + b)^Êdv. 
Le premier terme du second membre donne encore la valeur approchée, de
	        
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