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Traité des Orbites des Planètes.
que les termes sousélémentaires qui peuvent se produire dans les seconds
membres sont tout au moins du troisième ordre.
On parvient à un résultat analogue en examinant la question suivante.
Supposons d’abord qu’il s’agisse de déterminer une quantité R par
l’intégration de l’équation
d 2 fl
(19) + (1 Px)R = S cos(0 + o)V + b + 6 ),
s , A , (T , b et 0 ayant la même signification qu’auparavant, et /9,, celle
d’une constante du premier ordre. On en tire, après avoir posé:
( 2 °) ^ “ j p 0 y cos ((/ + a)v + b -f- 0 ) -f- fo,
l’équation que voici:
(21)
<r<p
dv 1
+ (> —PÙ 9
(W + „)„ + i)
+ , - ft—y+W C0S ( (À + ^ v + h )
+ a)v + ^
+ I _ A d (i+ -^ sin (( A + ^ + h )
d (s COS 6)
dv
d (c sin H)
dv
d 2 (s cos ff)
dv~
d 2 (ô sin H)
dv ' 1
✓
En intégrant cette équation, il viendra, relativement à p, si A n’est
pas trop près de l'unité, de sorte que 1 — /9j — (À + <7) 2 puisse être
considéré comme une petite quantité du premier ordre, un résultat du
deuxième ordre.
Admettons ensuite qu’on soit obligé de former le produit de la fonction
R par le facteur
Q = Csin((A + à)v -j- b x + Oj),
C étant un coefficient variable de la même nature que s, et h 1 ainsi que
0 X , des quantités peu différentes de b et de â, de sorte que la différence