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49G Traité des Orbites des Planètes.
une seconde approximation; puis des termes d’un degré impair et plus
élevé. Il y a ensuite des termes sousélémentaires du second ordre, dans
certains cas acquérant des valeurs assez considérables.
Quant à ces derniers, on les déduira, après avoir établi, sous la forme
appelée diastématique, les inégalités diastématiques du premier ordre, ainsi
que les inégalités anastématiques du même ordre, ce qui, dans la plupart
des cas,, s’effectuera, en procédant d’une manière analogue à celle que nous
avons employée dans le n° 102. Or, en multipliant deux séries de la
forme diastématique, ce qui est demandé par l’équation (¡ 3 ) du n° 94, il
se produira, entre autres, des termes appartenant aux synechies que nous
venons de considérer, termes qu’il faut détacher des autres et réunir, du
moins tant qu’ils sont du troisième degré, avec les termes du même genre
qui sont donnés par les équations (27), (28), etc.
De pareils termes se produisent encore par des opérations destinées à
déterminer les inégalités du premier ordre. Supposons, par exemple, qu’il
s’agisse de la fonction W donnée par l’équation
— = a sin O + b + 0),
a étant une constante du premier ordre et 0 , un agrégat périodique ren
fermant entre autres le terme
6 = y sin (( 1 — X)v + 13 ),
le seul duquel nous nous occuperons maintenant. On y a désigné par y
une constante du premier ordre.
Cela étant, nous supposons que W soit exprimé par la formule