I S
Première Partie. Livre IV.
résultat qui, en vertu de l’équation (I), prend la forme suivante:
505
(ni)
d 2 g . drdg
T —- -4- 2 -4- r
dt 2 ^ dtdt^
'dv ,,\ 2 3i2\ dQ
,Tt + N ) + sr ja = 57
iii. Avant daller plus loin, nous nous arrêtons un peu pour obtenir
les résultats précédents par un procédé mis en usage par Hansen.
En diffèrentiant les équations (25) du n° 20, nous obtenons
dt 2 a dt‘
d 1 û d *V , da d s , d/9 dÿ d N, .
+ ^ 5 F + 5 F 5 * + 5 F 5 F “* 5 F*
»(■S-Æ+V
d/
£ d/9\
' s di )
etc.,
d’où l’on tire, ayant égard aux équations (21) du n° 20 et (1) du n° 64,
les deux suivantes:
(^)
dN 3J2
dt Ti “ de
dN
d - r I 1 2iV— + nAtj -1
dt 2 ^ dt ^ \r s iV P T dt ’ 3^
ç =
Mais des équations précédentes, on déduit encore celle-ci:
d/9 , d«, ( d/9,A /drj
'r—A. r 'L 4. r
/ dt ^ h dt T ' 2
3£
dt 1 \dt -y + [ r ft +r ^ + r, + jV b =
Ensuite, les équations (f) et (7-') du n° 20 conduisent aux valeurs
da
da.
da„
r dt dt + r<i dt
d/? d£ d&
• dt ^ r1 dt ^ f ï d.t
1 ( d jK
r 2 \dt
qui, introduites dans l’équation précédente, la changent en la suivante
i'ia,
\dt
Traité des orbites absolues
A Ar ) CI- *v) + (f + *> N ) (I + Ar f) = r. S •
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