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Première Partie. Livre IV. 515
113. On gagne un peu en simplicité, si l’on admet la notation
( x 5 ) c = c( 1 + gŸ:
alors l’équation (6), par exemple, s’écrit ainsi:
(■ 6 ) ■
I
Cela étant, nous observons les relations
dr dr dv
dt dv dt
dv
I
d 2 -
or \Jc r d\]C
dt 2 r 2 dv 2 r 2 dv dv
en vertu desquelles l’équation (IJ se met sous la forme suivante;
a,)
d 2 - -d -
r , dsjc r (1 + g ) 2 fi
dv 2 yjc dv dv r c
Dans cette équation, l’argument v est introduit comme variable indé
pendant^; mais il peut arriver qu’il se montre favorable d’en détacher une
certaine partie, supposée toutefois un agrégat périodique, en sorte que la
partie retenue comme variable indépendante soit isocinétique avec v. Pour
garder toute la généralité, nous allons mettre en évidence ce nouvel argu
ment, en établissant la notation
(' 7 )
» = »0 + X>
nous réservant toutefois d’annuler l’agrégat périodique y quand il paraîtra
convenable.
Multiplions l’équation (IJ par la constante a , et introduisons-y, au
lieu de r, la fonction p donnée par l’équation
P -i r )
(c)
1 + .0
/1(1 + p)