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Traité des Orbites des Planètes.
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Ou obtiendra également des résultats semblables relativement aux
fonctions S', (p) et (c'); et ensuite, on établira, d’après le modèle de l’équa
tion (XII), deux équations, l’une en (3), l’autre en (5').
De la sorte, si le nombre des planètes est deux, on parviendra à un
système de quatre équations, chacune du second ordre et du troisième
degré. Mais si l’on considère, à la fois, toutes les huit planètes princi
pales, le nombre des équations simultanées sera seize. Il s’entend que l’inté
gration du système mentionné sera une affaire extrêmement compliquée:
cependant, en faisant usage d’une méthode de réduction que j'ai donnée
dans le mémoire »nouvelles recherches etc.», on parviendra à accomplir
cette tâche moyennant des approximations successives, dont la première
s’opère par l’intégration d’un système de seize équations linéaires, équations
qui cependant jouissent de la propriété d’être holistiques, et qui en consé
quence, se prêtent à chercher des solutions uniformément convergentes.
Considérées comme équations linéaires, les équations mentionnées se divisent,
du reste, en deux groupes, formant chacun un système de huit équations.
Par ce que je viens de dire, il s'entend que notre point de départ
doit être l’étude de la fonction S.
118. Il s’agit avant tout de montrer que les termes du type (A)
qui apparaissent dans l’expression de la fonction S, sont sousélémentaires
du premier ordre tout au moins; autrement, c’est-à-dire, s’il y avait là des
termes élémentaires, la fonction T renfermerait des termes surélémentaires,
ce qui rendrait la solution impossible.
Dans le but proposé, reprenons l’équation (IV 2 ), et portons-y la valeur
de r exprimée en p et (c). Nous aurons, par un calcul assez simple les
expressions
/-*
At) (c)( 1 + Sy
P
9 1 "h >° ^( c ) , ( r + p ) 2 f d( c )
(c) clv 0 dv 0 (c) 2 \dv 0
;i + (c)(! + sy
1 + py +
2 î + (î
dv. ^ \dv„