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Traité des Orbites des Planètes.
et en restituant K au lieu de K 0 , ce qui revient à omettre les termes
r.
I
Y •
y- 1 cos Lj, etc., l’équation de condition que voici:
i — (T - (-
3 F,
= o,
v i + 2 h 2(1+ 2 K)*
où l’on a désigné par 2 F x le développement
2 2
h + h + ..
Evidemment, si était, avec < 7 , une pètite quantité, la résolution
de l’équation que nous venons d’obtenir s'effectuerait très facilement, parce
que cette supposition entraîne celle que K soit aussi peu sensible. Or, si
l’on ne considère que les premières puissances de K et de F l , il résultera
l’équation
ff + l F i =°>
d’où l’on tire:
K =
Maintenant, si l’on désigne par x { , x . 2 , . . . les coefficients des termes
périodiques du premier ordre du développement (8), nous aurons, en ne con
sidérant toujours que les termes du deuxième ordre en l’expression
*i =
ou bien
1 i* + l (£,
+
Xi =
¿it i
/ 3 \ ,. , 9| a /^
Certes, le procédé qui nous a conduit au résultat signalé n’étant
légitime qu’à certaines conditions, on doit accepter ce résultat sous toute
réserve. Néanmoins, tout incomplète que puisse être la formule du coeffi
cient x n elle révèle un fait que nous allons retrouver plus tard avec plus
de rigueur, savoir que de petites valeurs des coefficients ne tendent pas
à agrandir les coefficients x, hors des limites finies et inférieures à l’unité.