Full text: Mesures physiques et signatures en télédétection

1(L) 
ire 2 b 
dans le cas de deux 
ent à D. 
îaissance de K modèles 
que l'on peut aisément 
par les distributions de 
lition (4) proposée pour 
;ur de spatialisation (6). 
Nous montrons, dans la 
et nous en tirons des 
ar des réflectances sans 
t son architecture jouent 
Le paramètre structural 
rt entre l'aire la surface 
le donnée et de son état 
ie dans le temps et dans 
llitaires les plus souvent 
icctraux du visible et du 
ieu et Baret, 1991). On 
e rapport (p pir - p vis) / 
infrarouge et du visible 
atténue sensiblement les 
lits à partir de mesures 
3 rice 1993). 
nulation. Pour l'eau et le 
le décrite dans 
51/251, du 19 
juillet 1992, région de Haguenau), d'une part, et de l'analyse de photographies hémisphériques fournissant les LAI. 
d'autre part. Pour les feuillus, le modèle M3 est : 
LA13 = - 1.53 Ln ( 0.72 
Lpir + é.vis 
Pour les conifères, le modèle M4 est : 
LAI4 = - 2.77 Ln ( 0.52 - 
Lpir -é,vis 
Lpir + Lvis 
) + 2.75 
Dans ce travail, nous ne discuterons pas ces modèles pour eux-mêmes. Nous considérons, en se 
basant sur la littérature, qu'ils sont parfaitement validés in situ. La valeur exacte du LAI sur le pixel hétérogène Q 
est donné par (1). Cette valeur notée LAI (£) dépend de la luminance in situ £(u>)=(£ pir(œ),L vis(co)), eu ES. 
D'après (3), on aura : 
LAI ( £ ) = 
Dans ces conditions, le modèle spatialisé 771 (L) dont la mise en oeuvre générale a été décrite au 
paragraphe précédent répond à la question posée. Son application particulière au cas du LAI est décrite ci-après. 
4 - MISE EN OEUVRE ET VALIDATION DE LA METHODE 
Simulation d'un paysage naturel 
Un paysage naturel hétérogène est simulé (figure 2). Il est composé de quatre types de milieux quasi-homogènes 
distincts : un couvert végétal de feuillus, un couvert végétal de conifères, du sol nu et des étendues d'eau. Cette scène 
de référence est constituée de 50 x 50 pixels élémentaires coi. Ces pixels sont appelés pixels locaux. On considère que 
chacun de ces pixels est quasi-homogène et n'est donc recouvert que par un seul type des quatre milieux naturels. 
Chaque pixel local est ensuite caractérisé par deux valeurs de luminance prises dans les domaines 
spectraux représentatifs du proche infrarouge et du visible (rouge), soient £ pir et £ vis, attachées aux quatre types de 
couverture. On dispose ainsi de 2500 couples de luminances pour les pixels locaux coi (i = 1 à 2500). 
Les pixels satellitaires Q, appelés pixels globaux, sont construits en regroupant exactement 10 x 10 
pixels locaux coi. Les mesures globales se font donc sur milieux hétérogènes, mélanges d'eau, de sol, de feuillus et de 
conifères (figure 2). A chacun d'eux, on associe suivant (2) et avec la connaissance précise de leur composition, les 
deux valeurs de luminance dans le proche infrarouge et le visible Lpir et Lvis simulant ainsi les mesures effectuées 
dans l'espace. 
Calcul du LAI sur les pixels £2 
Le modèle spatialisé (5) est confronté à une méthode classique de seuillage. L'indice foliaire, pris comme référence 
pour la comparaison des résultats, est le LAI calculé à partir des valeurs de LAIk = f (£ pir, £ vis) des 10x10 
pixels locaux composant chaque pixel global tel que : 
LAIréf 
La construction du modèle ïïl (L), noté maintenant LAI (L), sur milieux hétérogènes est basé sur le 
paragraphe 2. pour chaque couple de luminances (Lpir,Lvis) de D (figure la), correspond un LAI minimum R1(L) 
et un LAI maximum R2(L). Ces deux valeurs sont les bornes exactes de variation du paramètre LAI in situ 
correspondant au même L satellitaire. Les valeurs du LAI spatialisé pour le pixel Q sont ensuite calculées à l'aide du 
modèle (5).
	        
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