THÉORIE DES SATELLITES DE SATURNE.
IOI
Il vient donc
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On a trouvé ce rapport = 0,75 ; il en résulte
. o\2 A 1 v m ' J) 7 ( | )\ e % n l
"(■ — «?) I*-, + 4 2 m7 '7 = °>7 5 X J -
En remplaçant les quantités par leurs valeurs numériques. M. H. Struve ob
tient l’équation suivante
( 3 o) x 83,4 — ( 3 , 2 i 43 )A + (5,824i)m Ti + ( 5 ,oio 7 )/?i Rll H-( 4 , 7 ii 4 )m I)i + (4,4939) m Te + ...,
où m Ti , m nh , ..., désignent les rapports des masses de Titan, Hypérion, Rliéa,
Dione, Téthys, ... à la masse de Saturne. Rappelons que a désigne successive
ment les rapports des demi grands axes des orbites de Titan, Rliéa, ... à celui
de Japet.
La discussion de l’ensemble des observations de Titan a permis à M. H. Struve
de déterminer le mouvement du périsaturne de ce satellite, et cela lui a fourni
une équation analogue à la précédente, savoir
( 3 i) 1800 =( 4 , 84 o 4 )X 4- ( 6, o 563 ) m Ja 4 - (^,7875)7^111, 4 - ( 6 , 4 io 3 )//i Di 4 - (6, i 637 )m Te .
La masse de Titan est sans doute de beaucoup la plus considérable; si nous
la conservons seule, les équations précédentes se réduisent à
i83,4 = (3,2i43)A 4 - ( 5 , 824 i)/?i Ti ,
1800 = (4,84o4)A,
d’où
À =0,0260, m Ti = ~—
4700
M. H. Struve fait un nouveau calcul en introduisant des masses hypothé
tiques des satellites Japet, Rliéa, .... M. W. Pickering a mesuré les éclats de
ces corps, et, en leur supposant à tous le même pouvoir réflecteur et la môme
densité, il en a conclu (Annales du College Harvard, t. XI, p. 247),
— 0,0667 m ti,
m Di = o,o 5 j 3 m Ti ,
m Rh = o, i488m Ti ,
m Ja = o,ol\iym Ti .
Il est inutile d’insister sur le manque de rigueur de cette détermination qui
se borne à une simple appréciation; dans ces conditions, il est clair que l’on