THÉORIE DES SATELLITES DE SATURNE.
I 21
M. 0. Stone pose
Pa' 2 = y P,- cosî'ô, 7 “jr— j—-, ( Su' dô —'S', Si cos/ G;
¿mi ’ (n — n )n'a* J ^mi
il n’introduit pas le ternie S 0 qui ne ferait que modifier v dans l’équation (21).
On effectuera ces développements par les quadratures mécaniques, en attri
buant à 0 des valeurs équidistantes entre o° et 180°, et calculant les valeurs
isolées de P et de S r avec les valeurs (17) de r et de v\ adoptées pour la pre
mière approximation. On peut donc supposer que les expressions numériques
des quantités P, et S/ sont assez bien connues.
Les expressions (20) vont devenir maintenant
( 22) i —(— — <x 2 —i— ci §/¿3 —H A1 cos Ò -)—... Ag cos 8 9 - ^
2 / /IT
rv a 1
m ^ S,- cos /9 =o,
( 23 ;
v — ^ a£(i — 2v) — — «3(2 — 3 v)-)-B 1 cos 9 + .. .h- B 8 cos 80
j — p.(a t cosò -h 4 «2 cos2 9 h- 9« 3 cos 30 -+-...) — /«V P, cos ¿9 = o;
1 0
on a fait, pour abréger,
f* =
( /1 — n'y a ' 3
k*
En égalant à zéro, dans les équations précédentes, les coefficients de
coso 9 , cosò, cos8ò,
on trouvera un ensemble de dix-huit équations propres à déterminer les incon
nues p., v, m , A,, A 2 , ..., B,, Bo, On en conclura ensuite a K , a 2 , ...,
n . 2 , — Deux de ces équations seront
1 + - « 3 + a-i'h
k V 1
i 1
3 Pv
v — - a l 0 — 2 v ) — a \ ( 2 — 3 v ) = m P 0 .
Avec la valeur o,t adoptée pour a 3 , on en déduira p. et v quand on aura la
valeur de m, qui sera trouvée en égalant à zéro les coefficients de cos30 dans
l’équation (23). On pourra, après avoir ainsi obtenu les valeurs des incon
nues, reprendre le calcul numérique des coefficients P,- et S,-, et procéder à une
nouvelle approximation
T. - IV.
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