THEORIE DES SATELLITES DE SATURNE.
I 33
en posant
l h 2 = 12 m'ri 2
(4)
, a TV 3 ’ / i \ «'LU 3 ) / i
y/ — ( f - - + 48 W 2 y/ — (i + ^ [3'
I , y' «B< 3 > . y «'Rf 3 >
f s —m'n L. — 1- mn' JL —
y 4 '■
y 4
yy'a 2
dB< 3 > , , , ÙB< 3 >
4 - 2 mn'yy'a 1
de
da'
M. H. Struve a négligé dans s les termes en yy', ce qui est correct, car
ces termes sont de l’ordre de ceux que l’on a laissés de côté en formant les
expressions abrégées des fonctions perturbatrices; il a mis i au lieu de
Enfin, pour obtenir la formule (3), on a formé —, .
7 dt 2 dt 2
dH' t cl 2 Q'
~dt? Kt ~dp ’ en P“ 1 '-
lant des équations (i) et (a), et négligeant les termes qui contiendraient
On a pris, par exemple,
Mil a a Cly an
W X —) ~T~ y “T"
cos dt dt dt
d 2 s , , a 2 r}B- 3 > .
777 ; —— 2 /n'nyy' - SU
, . . ir f/W
dp- "îTi- slnW *'
mais
t/ 2 0
¿7*
/2 dii y' a B< 3 > . ¿/W
— P yyy + « 77 7 — sin W — —
L’équation (3) ne contient pas t explicitement. On peut donc chercher à l’in
tégrer en posant
d’où
Il vient ainsi
d’où
e™ - w'
dt ~ ’
d 2 \\ _ d\X
dt 2 d W
W
W
/f- 4 - .V W'
/t 2
rfW'4- sinWrfW = o,
/2 "'W
A 2 4 - .9 — 7 -
•9 a \ ¿/f
- 2 log(/i 2 + iW') = const. + cos W,
h 2 - /- c/\\
-¥ lo S ( A2 + ' 9 ^ ) = cos W + const.
En développant log (t + A suivant les puissances de f, ¿5!, ¡1 vient
I rfW _ A - / y é/W _ £ SJ _ ( IW 2 I $ 3 ¿/W 3 >
s dt s 2 \ A 2 2 Â* r// 2 + 3 7? ~dt} i — C0S W-+- const.