LES SATELLITES DE NEPTUNE, DE MARS ET D URANUS.
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La troisième de ces valeurs rentre seule dans les limites (11), et la valeur
correspondante de x — ^-5* G ' variant de 220° à 23y°,2, x — -x, diminue
de à pour augmenter ensuite jusqu’à ^ pour 0'= 290°. Le petit Tableau
suivant donne une idée de la variation :
1 I
6'.
X X,
2
£ 0
T.
C.
?'•
s.
0
h
0
0
an?
/ 23 o
245
147
73
18,7
39
1 37
1060
l 25 o
2.42.
145
72
18,6
52
i 36
i 36 o
) ¿ 7 °
l82
109
55
l6,2
66
1 32
i 56 o
/ 275
147
88
44
i 4,5
72
i 3 o
1600
| 280
Il 4
68
34
12,8
7 6
12.8
1640
1 285
46
23
io ,5
81
126
1660
290
33
20
10
fi,9
86
124
1680
Ayant les valeurs de x — - x,, il s’agit d’en conclure l’aplatissement; mais ici
intervient la loi inconnue de la variation de densité à l’intérieur de Neptune.
Si cette planète était homogène, on aurait, en faisant x = e 0 ,
x = - x t , £o =-(;
c’est ainsi qu’on a trouvé les nombres £ 0 du Tableau précédent. Dans le cas
presque certain de l’hétérogénéité, le mieux à faire est peut-être de voir ce qui
1
X
arrive pour Jupiter et Saturne. Pour ces planètes, le rapport ——— a pour valeurs
0,27 et 0,28. En admettant o,3 pour Neptune, on trouve x = e 1 = 2e 0 ; on a
inscrit les valeurs de £, dans le Tableau (d).
Soient
T la durée de la rotation de Neptune,
D sa densité moyenne,
V et D' les quantités analogues pour la Terre,
et x' le nombre analogue à x,.
On a, comme on sait,
X
or,
J