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CHAPITRE XV.
Cherchons la valeur de C qui répond à la surface libre; il faut faire, dans
l’équation (24),
d = go°, ^=—90°, r — r\;
il en résulte
~ 4 /— 2 1 — 9
C = —; \/ mo -\ -, m :
r v ' r 9
on peut se borner à
4 /—
L = —, \Jma),
r 1
et l’équation de la surface libre devient
(28)
(1 — 9) r-
3 sin 2 9 sin 2 d; — (
— 2(0 r
sin 9 sin ’b
2 m
r
— — J mco.
r v
Cherchons le second point où cette surface coupe O y, en faisant
Nous trouverons
9 — 90°, ij 1 — 9 °°*
( 2 9 )
Cette équation admet deux racines positives; l’une voisine de est très
grande et se rapporte à une branche de courbe fort éloignée, dont nous n’avons
pas à nous occuper. L’autre a une expression approchée que l’on déduit de
l’équation (29), en négligeant le terme en f p J ; on a alors
?
+ 2 \Jm 9
/•
— m = o,
r
0-
La figure ci-dessous représente la courbe méridienne de la surface libre.
Fig. i 3 .
On démontre aisément qu’en C la surface admet un point conique : c’est par
là que se fera l’écoulement, et l’on n’aura plus qu’une queue unique opposée