MÉTHODE DE CAUCHY.
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Les deux dernières de ces relations peuvent être remplacées par
(16)
on en déduit
7 C 0 S 6 ) =:
l
K
'+É 7 )
j, sin a) — ( b' + p
a' —
coscp',
sintp';
(17)
K 2
= (a' +
K 2
-777 COS 200 =
Si l’on pose
(r8) fi = COS29'
/2= ^ ( a'b'H-,
+ 2 ( a' h— 7 ) ( b' h- r-, ) cos 2 9',
\ ay \ b'y
cos 2 9' 4- 2 ^a' + ^ ^b' + ■
2 Vb' 1 a'
on trouve aisément, en vertu des relations (i 5 ) et (17),
H
7i +/2 +/3 — -J, ’
K 2
/1/2 +/ 1^3 + 7 * 73 = — ï>
K 2 H
7i7273= COS 2 to - -rr
Doncj,, v->,y 3 sont les racines, nécessairement réelles, de l’équation
(19)
7 3_? 7 2
\ H K 2
I J y + -77 — 7-77 cos 2 to =0.
y, est < 1, y 2 et y 3 > 1 ; on a d’ailleurs y 2 >y 3 , car cette inégalité revient à
a ' b '" 7 Ty > Ü
iy
ou a
— a' 2 )(i —b' 2 )>o,
et cette dernière inégalité est vérifiée. Donc l’équation (19) aura toujours ses
trois racines réelles, l’une < 1, ce sera7, ; les deux autres > 1 ; la plus grande
de ces dernières seray 2 .
Il est commode de résoudre numériquement l’équation (19) par la trisection
de l’angle. Pour y arriver, nous ferons
(20)
11
Y — -ft- 7+1 cos U
J 3 i